Les mini croiseurs de 4.83 à 7.50 mètres

MiniCroiseur / Voilier habitable et transportable… / Les mini croiseurs de 4.83 à 7.50 mètres
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Voilà une synthèse réussie du petit croiseur côtier et du dériveur sportif. Dessiné par Christian Maury, le bateau reprend quasiment, avec une longueur de 5,90 m, la carène du 420. Il dispose de trapèzes, mais comme c’est un petit croiseur, il a un peu de lest et possède un roof. Fabriquées par les chantiers Lanaverre à partir des années 60, les unités encore en navigation sont en règle générale très bien entretenues. Le voilier a été spécialement conçu pour la régate et la promenade à trois ou quatre. Très évolutif, il permet aux régatiers de trouver tous les agréments d’un bateau rapide, vivant et facile à manipuler. Le très grand cockpit (3 m) est autovideur et le roof, bien que très ouvert, peut abriter tout l’équipage. Deux couchettes confortables et deux couchettes annexes sont complétées par de vastes volumes de rangement. Les plus : un capot ouvrant transparent qui permet toutes les manœuvres sans avoir à sortir de la cabine. Et un emplacement pour le moteur hors-bord. Facilement remorquable sur route, son lest (avec dérive) de 140 kilos lui assure une sécurité totale. A noter, l’association de classe possède son siège à Arès, au bord du bassin d’Arcachon.
Materiau: Polyester
Version: DL 0,40/1,25 m
Architecte: C. Maury
Longueur: 5,90
Largeur: 2,05

L’Alizé représente au sein de la gamme JEANNEAU un exemple de polyvalence rarement atteint. On a voulu créer un bateau stable, capable de supporter la mer et le vent aussi bien que des équipiers profanes, et le lest de 120 kg garantit la stabilité convenant au programme du bateau. Le cockpit est extrêmement vaste et peut accueillir facilement quatre à six personnes. On peut s’y installer pour le pique-nique, pour le bain de soleil, pour la pêche tandis qu’un accastillage poussé autorise la régate.

Materiau: Polyester
Version: DL 0,40/1,20 m
Architecte: E.G Van De Stadt
Longueur: 6,05
Largeur: 2,05
C’est le moins connu des chantiers Aloa. Petit dériveur très maniable, apparenté aux Foxtrot et Jouët 17, l’Aloa 17 possède un faible tirant d’eau et une petite cabine qui autorise volontiers le cabotage. En revanche, au mouillage, il reste fragile. Mieux vaut lui faire passer l’hiver au port car l’unique taquet d’amarrage est bien mince contre bourrasques et marées. Avec du vent dans les voiles, il prend la moindre risée et possède un bon comportement par tous les temps. Excellent pour débuter ou prendre du plaisir même avec de l’expérience. Son faible tirant d’eau permet de naviguer au plus près des côtes et l’échouage est facile (avec ou sans béquille).
Materiau: polyester
Version: DI 0,70/1,30 m
Architecte: Aloa Marine
Longueur: 5,20
Largeur: 2,00

Lors du changement de statut de Seb Marine en Aloa Marine, le Prim’Vent devient l’Aloa 21. L’Aloa, c’est le nom d’un papillon des tropiques. A l’image des lépidoptères, le plan L’Hermenier (Charleston), sorti de son cocon en 1969, a connu un certain succès. 400 exemplaires fabriqués. Et surtout une silhouette bien à part. Le roof est haut, il est porté sur l’arrière, ce qui laisse place à une vaste plage doté d’un hublot horizontal à l’avant et à un petit cockpit à l’arrière. Effilée, la carène fend les eaux comme le papillon fend les airs, mais elle a besoin de vent pour faire preuve de vélocité. Plus petit que la version croisière (Aloa 23 ou Prim’Vent Sport) de 60 cm, l’Aloa 21 est très agréable à barrer, ne gîte pas trop, à condition de ne pas mettre trop de poids à l’arrière du bateau. Les moins : peu d’espace de rangements, des hiloires trop étroits, les toilettes dans la pointe avant (pas facile d’accès). La cabine contient quatre couchettes. Mais on préférera l’Aloa 23 pour un programme croisière.

Materiau: polyester
Version: Q 1,00 m
Architecte: J.-M. L'Hermenier
Longueur: 6,30
Largeur: 2,45

Lors du changement de statuts de Seb Marine en Aloa Marine, le Prim’Vent devient l’Aloa 21, et la version croisière devient l’Aloa 23. La différence entre le 21 et le 23 est de 60 cm sur l’arrière. L’Aloa 23 reçoit un gouvernail suspendu et un tableau inversé ainsi que 80 kg en plus pour le lest. » La revue Bateaux résume bien la situation. Pour un programme de vie à bord, vous l’aurez compris, on choisira le numéro 23. Voilier du Sud de la France, on prévoira une capote sous des climats humides. Un WC marin se loge dans la pointe avant. La cuisine est cachée sous la descente. L’absence de hublot à l’avant du roof rend le carré un peu obscur. Excellent bateau sous-toilé et pas très échantillonné mais très marin, l’Aloa 23 constituera un premier choix idéal pour un navigateur en solitaire. Pendant le transport, la coque s’enfonce beaucoup mais elle retrouve rapidement sa forme initiale. Commercialisé 15000 francs en 1975 sans moteur, le voilier en vaut aujourd’hui entre 2000 et 4000 euros sur le marché de l’occasion. Raide, léger et solide, l’unité peut nécessiter quelques travaux. On vérifiera surtout l’état du gréement et les points de rouille au niveau des cadènes.

Materiau: Polyester
Version: Q 1,10 m
Architecte: J.-M. L'Hermenier
Longueur: 7
Largeur: 2,45

B’Jet pour Belouga « de luxe » ! C’est devant le succès du Belouga QR et une forte demande que Pierre Matonnat lance en 1978 le Belouga Jet dont la quille est rétractable à 100%. Ce monocoque, dessiné par George Auzepy-Brenneur, se contente de 37 cm d’eau pour flotter en charge, ce qui permet d’accéder à toutes les plages et d’échouer à plat. Voilier de croisière côtière familial, grand frère du Midget, le B’ fut construit dans le chantier girondin puis chez Moinard jusqu’en 1984, assurant sa notoriété à l’époque grâce à son mécanisme de relevage (parfois abîmé aujourd’hui sur les occasions) assez simple d’utilisation. Volume habitable généreux, grande largeur de flottaison. Le voilier, déjà classé dans la catégorie des « gros » de plus 7,30 m, a plus d’un atout dans son sac. Son transport routier nécessite malgré tout une remorque de 2000 kg de PTAC minimum. Une version club existe pour l’usage en plan d’eau intérieur. Elle possède un mat rétreint supérieur d’un mètre. Rapide quelque soit l’allure, vivant, doux à la barre et malgré une légère tendance à gîter, le B’Jet s’avère sécurisant. Vif dans les vents légers, le bateau est à son aise au-delà. Laisser un peu de quille au fur et à mesure que le vent forcit devrait permettre à l’équipage de tenir le navire. Le plan de pont permet des déplacements corrects du cockpit à l’avant. En cabine : cinq couchettes en deux cabines dont une couchette double dans le carré. Table rabattable sur puits de dérive. Cuisine avec réchaud et évier. Rangements. Table à cartes, coffres étanches sous toutes les couchettes et grande penderie.

Materiau: Polyester
Version: DI 0,37/1,53 m
Architecte: G. Auzépy-Brenneur
Longueur: 7,37
Largeur: 2,49
Materiau: CP
Version: DL 0.45/1,20 m
Architecte: P. Harlé
Longueur: 6,00
Largeur: 2,22
Voilà une petite merveille, très rare sur le marché de l’occasion français, qui inspirera plus tard son grand frère, le Surprise. Le Bagheera, ce n’est pas que la panthère noire du Livre de la jungle de Kipling ou même la voiture mythique du constructeur Matra. Non. C’est aussi une des toutes premières séries des chantiers Archambault. Cet ancien quillard conçu en 1971 possède une carène fine et élancée, proche du Bélouga. Le bateau est rapide, nerveux à la voile et capable de donner de grandes sensations à qui voudrait s’essayer aux plaisirs de la régate. Avec une largeur d’1,80 m pour 6 m de long, le Bagheera est transportable. Il possède quatre couchages.
Materiau: Polyester
Version: Q 1,04 m
Architecte: G. Blondé
Longueur: 6,00
Largeur: 1,80

Le Bahia (qui veut dire la « baie » en portugais) est un bateau ouvert sur le monde et à tous. L’avant de la quille est profilé en pente douce jusqu’au brion, permettant ainsi des sorties et une mise sur remorque très facile. A l’aise sur route, le Bahia est très confortable et rapide sur l’eau. Ses lignes tendues se jouent à merveille du clapot et avec ses 20 m2 de voilure sur gréement 7/8ème, il ne manque pas d’allure, faisant honneur à la réputation de Philippe Harlé, célèbre concepteur de bateaux véloces, raides à la toile et marins. Les grandes surfaces dégagées du pont et le cockpit dignes d’un bateau beaucoup plus grand laissent soupçonner un important volume intérieur. En fait, les aménagements du Bahia sont un modèle d’équilibre et de bonne exploitation de l’espace. Table de carré pivotante qui se transforme en table à cartes, meubles de cuisine, nombreux rangement, 4 grandes couchettes, tout est conçu pour le confort à bord. Le beau carré est très ouvert, ce qui est inhabituel pour un 6,20 m. A vous les plus belles baies du monde.

Materiau: Polyester
Version: Q 1,12 m DL 0,42/1,45 m
Architecte: P. Harlé
Longueur: 6,20
Largeur: 2,42
Tour à tour cétacé, esturgeon, caviar ou avion cargo chez Airbus, le Bélouga est avant tout un voilier dériveur en bois puis polyester, à gréement houari ou marconi, créé en 1943 par Eugène Cornu et Jacques Lebrun, du Cercle de la Voile de Paris. Rapide, spacieux et transportable, le Bélouga est un sloop à corne rapide suffisamment habitable pour des sportifs désirant acquérir le goût de la croisière en effectuant en rivière ou en mer des sorties de port à port. Avec plus d’un millier d’unités fabriquées, son succès est incontestable. A partir de 1972, ce voilier subit quelques modifications et est équipé d’une quille rétractable lestée à la place de la dérive. Le « Bélouga QR 6,60 » était né. En cabine, les 2 couchettes se trouvent sur bâbord séparés par le coin cuisine. En face, dans le carré, le puits de dérive vient s’encastrer dans des meubles de rangement. Sur le pont, le roof très avancé offre de grands espaces depuis le cockpit. Pour le reste, le Bélouga mérite bien son nom : au loin, sa silhouette rappelle sans ambigüité le dauphin à la longue silhouette fantomatique qui hante les eaux glacées de l’océan Arctique.
Materiau: Bois/Polyester
Version: QR/DI 0,28/1,20 m
Architecte: E. Cornu
Longueur: 6,50
Largeur: 2,30
Un nom bonhomme, une bouille attendrissante. Le Biloup 765 est le premier voilier sorti des chantiers Wrighton à Béthune. Spécialisée dans la carrosserie automobile, la société décide de lancer ses propres bateaux dès 1978. Comme la plupart des « Biloup », le 765 était proposé en construction amateur. Les aménagements intérieurs peuvent donc différer d’une unité à l’autre. Monocoque à deux quilles au tirant d’eau réduit, le voilier est transportable malgré ses 7,35 m de long. Il reste un très bon compromis dans sa catégorie en termes d’entretien et de mise à l’eau. Pour aller au calme et se poser dans un coin, le Biloup est parfait. L’échouage sur quilles est optimal puisqu’il ne nécessite aucune manœuvre ! Le voilier possède des performances honorables même s’il lui faut un peu de vent pour avancer. Son cap n’est pas des plus précis mais sa tenue de route n’a rien d’aléatoire. Plan de pont marin et sécurisant, cockpit confortable. Naviguer en Biloup est plutôt rassurant quand l’expérience fait un peu défaut et que la balade reste le programme prioritaire. La cabine peut varier dans l’agencement mais elle est spacieuse. On y trouve, quoiqu’il arrive, une cuisine (sur bâbord), un carré – transformable en couchette double – et un WC (sur tribord). En face, dans la pointe, un autre couchage pour deux personnes. Dernière couchette sous le cockpit bâbord. Rangements nombreux.
Materiau: Polyester
Version: Bi Q 0,75 m
Architecte: Richard Wrighton
Longueur: 7,35
Largeur: 2,50

Successeur désigné du 765, le Biloup 77 voit le jour en 1988 dans le chantier nordiste de Wrighton. Il sera remplacé en 1995 par le 77 NV dont les architectes n’ont conservé que la coque d’origine du grand frère. Premier modèle de la marque de cette taille (7,50 m) à offrir une telle habitabilité tout en restant transportable, avec un faible tirant d’eau, un échouage très facile et la possibilité de changer de lieu de navigation, le Biloup 77 est simple et agréable à manoeuvrer en famille comme en équipage réduit. Son comportement dans le gros temps est en outre remarquable, ce qui en fait un vrai marin. Penaud dans les vents légers, le biquille maîtrise davantage son sujet avec un peu de souffle dans les voiles. Prendre un ou plusieurs ris passé force 4 peut s’avérer rédempteur, corrigeant le penchant naturel à la gîte. Pont dégagé à l’avant, cockpit confortable. Seul bémol du plan : les écoutes de génois se trouvent un peu loin du barreur. La cabine, elle, vaut le détour avec de multiples rangements : couchettes double à l’avant et à l’arrière ceinturent le carré décentré à tribord. En face, un véritable espace cuisine est mitoyen du cabinet de toilette installé au pied de la descente sur bâbord.

Materiau: Polyester
Version: Bi Q 0,85 m
Architecte: Richard Wrighton
Longueur: 7,50
Largeur: 2,50

Dessiné en 1967 par Gilles Costantini, le  « BINIOU » est un petit croiseur à simple bouchain d’une longueur de 7 mètres.
Il y eut deux versions de « BINIOU »

La première version a une coque en contreplaqué avec un roof en bois.

La deuxième version apparue en 1969 a une coque et un pont réalisés en polyester avec sandwich en balsa.
Ce modèle de bateau fut construit à plus d’une centaine d’exemplaires.

Materiau: CP ou polyester
Version: Q 1,10 m
Architecte: G. Costantini
Longueur: 7
Largeur: 2,30

Le Blue Djinn en quelques mots . . .Dériveur intégral de 6,10 mètres, le Blue-Djinn se positionne comme un vrai croiseur pouvant recevoir une famille complète.

Ses 4 couchettes dotées de coffres de rangements sont organisées autour du puits de dérive équipé d’une astucieuse table rabattable permettant ainsi de déjeuner confortablement. Un bloc cuisine (en option) avec un réchaud et une réserve d’eau complétera l’équipement nécessaire à la croisière.

Entièrement escamotable, la dérive réduit le tirant d’eau à 25 cm permettant au Blue-Djinn d’accéder aux plages les plus reculées.

Spécialement conçu pour des navigations en équipage réduit, l’ensemble des manœuvres est ramené au cockpit. Le Blue-Djinn est équipé de série de Lazy jack et prise de ris automatique, et de la grand voile entièrement lattée. Le barreur manoeuvrera facilement le moteur hors-bord installé sur la chaise livrée avec le bateau.

La mise à l’eau et le mâtage du bateau se faisant très facilement, le Blue-Djinn saura facilement vous suivre lors de vos week-ends croisière !

Un poids lège de 950 kg handicape une mise à l’eau et une remontée sur remorque classique à moins de privilégier une remorque immergeable.

Attention comme tous les dériveurs intégraux, le Blue-Djinn demande plus de rappel qu’une quille lestée pivotante !

Materiau: Polyester
Version: DI 0,25/1,10 ml
Architecte: BE B2 Marine
Longueur: 6,09
Largeur: 2,37
Materiau: Aluminium
Version: DI 0,35/1,35 m
Architecte: J-J Herbulot
Longueur: 5,70
Largeur: 2,15
Avec un nom pareil, difficile d’échapper au succès. « Conception moderne, lignes élégantes », c’est ainsi qu’est décrit le Brio au salon nautique suisse lors de sa sortie en 1978. Plus grand que le Flirt mais plus petit que l’Aquilla, le modèle, du haut de ses 6,60m, a pour vocation initiale de remplacer le Love-Love dans la gamme du constructeur Jeanneau. Pari réussi haut la main. Les emménagements sont assez conventionnels avec quatre couchettes, un bloc cuisine en deux parties et une table pliante. Le gréement est en tête. Seul bémol : le panneau de descente d’une seule pièce. Le carré du Brio, lui, est vaste, et son cockpit spacieux. A noter, plus d’un millier de Brio ont été produit de 1978 à 1983.
Materiau: Polyester
Version: Q 1,10 DL 0,70/1,30
Architecte: BE Jeanneau
Longueur: 6,60
Largeur: 2,50
Derrière ce vieux prince des mers né au royaume des plans Harlé se cache le Jouët 23ème du nom. Au premier coup d’œil, la ressemblance avec le Shériff est évidente. Il n’en a pourtant ni la taille, ni le programme. Encore moins la notoriété. Doté d’une carène moderne, ce petit croiseur, écoulé à 350 exemplaires, bénéficie de volumes intéressants et d’une bonne hauteur sous barrot. Il est parfait pour la croisière familiale et côtière d’une famille avec deux enfants. En navigation, ses performances sont intéressantes. Comme souvent chez Harlé, le bateau aime le petit temps. Sa rondeur se trouve au-dessus de la ligne de flottaison et le tout décolle dès que les voiles se remplissent. Raide à la toile, il est confortable et agréable à barrer. Si les premières unités ont bénéficié d’une finition spartiate, les suivantes se portent mieux. En cabine, le Calife a un carré symétrique avec deux couchettes, une pointe réservée au couchage, une cuisine avec réchaud à tribord et évier à bâbord. La simplicité condensée dans 6,84 m. N’est pas qui veut « calife à la place du Calife ».
Materiau: Polyester
Version: Q 1,10 m ou 1,30 m
Architecte: P. Harlé
Longueur: 6,84
Largeur: 2,49
Dessiné par Jean Berret pour Lorient, le Cap baba est un remarquable bateau de petit temps grâce à sa flottaison très étroite. Dans sa version de série, la coque a été alourdie et munie d’une quille fixe de 150 kg, afin de pouvoir obtenir la stabilité initiale minimale prévue dans le règlement de la Micro Cup 1978, le mât étant sensiblement raccourci. D’un tempérament vif et plutôt sportif , le Cap Baba est cependant doté d’une bonne habilité avec 4 couchettes, le règlement de la Micro imposant une hauteur assise suffisante.
Materiau: Polyester
Version: Q 1.00 m
Architecte: J. Berret
Longueur: 5.50
Largeur: 2.45

Commercialisé en construction amateur depuis cinquante ans, ce petit voilier dessiné par Jean-Jacques Herbulot est incontestablement une réussite extraordinaire. Sur le plan sportif, il fut le champion indiscutable des croiseurs légers de sa catégorie dont il remporta le titre en 1972 et de 1974 à 1979. En 1986, alors que tout un chacun pouvait penser ce plan un peu dépassé, il remporte les médailles d’or et d’argent aux Championnats de France ! Depuis, il continue à truster les places d’honneur. Il est même redevenu champion de France en 1989 à l’occasion du dernier Championnat des croiseurs… Sur le plan de la croisière, il y a longtemps que ses adeptes en ont apprécié la sécurité, la maniabilité sur l ‘eau comme sur la route et son habitabilité étonnante pour sa taille. La construction en bois moulé est envisageable à partir des plans, mais elle est maintenant réalisable et grandement facilitée en partant d’une coque en polyester, sans talent particulier de bricoleur. Trois cents à trois cent cinquante heures de travail suffisent alors pour terminer son bateau. Mieux même, depuis 1975, l’As Cap Corse et l’architecte ont autorisé le principe d’un pont en plastique d’une seule pièce dont l’adoption ramène le travail de construction à l’installation des intérieurs et à la pose de l’accastillage. Il modernise le dessin des superstructures et présente l’avantage d’augmenter le volume intérieur dans lequel l’implantation des aménagements se résume à quelques dizaines d’heures de travail. Petit outillage, petit budget ! Le Cap Corse peut enfin être acquis « barre en main » par ceux qui le désirent. Avec ses formes harmonieuses et efficaces, sa construction facilitée, son prix de revient sans concurrence, le Cap Corse sera toujours un bateau très recherché. Sa cote à l’occasion le prouve mieux qu’un long discours.

Materiau: Bois moulé ou polyester
Version: DL 0,57/1,00 m
Architecte: J-J Herbulot
Longueur: 5.75
Largeur: 1,92
La Cavale est un petit croiseur côtier de 5,50 m dessiné par Jean-Jacques Herbulot pour l’école de voile des Glénans en 1966. Il ressemble beaucoup au Mousquetaire, avec des dimensions proches du Corsaire mais une cabine, sans roof, très basse et plus courte. On peut éventuellement y dormir à deux et pratiquer le camping côtier.C’est un dériveur lesté.La construction est en contreplaqué marine, sa coque est donc à bouchains vifs.Il existe 2 versions de la Cavale: classique et HC. La classique est celle “des Glénans”, sans roof, gréée 7/8eme, sans pataras. La Cavale HC, sortie des chantiers Craff (sur l’Odet) est gréée en tête, dispose d’un roof et d’un pataras.
Materiau: CP
Version: DL 0,70/1,10 m
Architecte: J-J Herbulot
Longueur: 5,50
Largeur: 2,00
Voilà une synthèse réussie du petit croiseur côtier et du dériveur sportif. Dessiné par Christian Maury, le bateau reprend quasiment, avec une longueur de 5,90 m, la carène du 420. Il dispose de trapèzes, mais comme c’est un petit croiseur, il a un peu de lest et possède un roof. Fabriquées par les chantiers Lanaverre à partir des années 60, les unités encore en navigation sont en règle générale très bien entretenues. Le voilier a été spécialement conçu pour la régate et la promenade à trois ou quatre. Très évolutif, il permet aux régatiers de trouver tous les agréments d’un bateau rapide, vivant et facile à manipuler. Le très grand cockpit (3 m) est autovideur et le roof, bien que très ouvert, peut abriter tout l’équipage. Deux couchettes confortables et deux couchettes annexes sont complétées par de vastes volumes de rangement. Les plus : un capot ouvrant transparent qui permet toutes les manœuvres sans avoir à sortir de la cabine. Et un empla Voir plus
Id: 14
Surface des voiles: 18,50 m²
Année de lancement: 1967
Poids maximum: 400
Lest maximum: 140
L’Alizé représente au sein de la gamme JEANNEAU un exemple de polyvalence rarement atteint. On a voulu créer un bateau stable, capable de supporter la mer et le vent aussi bien que des équipiers profanes, et le lest de 120 kg garantit la stabilité convenant au programme du bateau. Le cockpit est extrêmement vaste et peut accueillir facilement quatre à six personnes. On peut s’y installer pour le pique-nique, pour le bain de soleil, pour la pêche tandis qu’un accastillage poussé autorise la régate.
Id: 148
Poids minimum: 450
Lest minimum: 120
Surface des voiles: 16,70 m²
C’est le moins connu des chantiers Aloa. Petit dériveur très maniable, apparenté aux Foxtrot et Jouët 17, l’Aloa 17 possède un faible tirant d’eau et une petite cabine qui autorise volontiers le cabotage. En revanche, au mouillage, il reste fragile. Mieux vaut lui faire passer l’hiver au port car l’unique taquet d’amarrage est bien mince contre bourrasques et marées. Avec du vent dans les voiles, il prend la moindre risée et possède un bon comportement par tous les temps. Excellent pour débuter ou prendre du plaisir même avec de l’expérience. Son faible tirant d’eau permet de naviguer au plus près des côtes et l’échouage est facile (avec ou sans béquille).
Id: 75
Surface des voiles: 12,7 m²
Année de lancement: 1974
Poids maximum: 400
Lest maximum: 100
Lors du changement de statut de Seb Marine en Aloa Marine, le Prim’Vent devient l’Aloa 21. L’Aloa, c’est le nom d’un papillon des tropiques. A l’image des lépidoptères, le plan L’Hermenier (Charleston), sorti de son cocon en 1969, a connu un certain succès. 400 exemplaires fabriqués. Et surtout une silhouette bien à part. Le roof est haut, il est porté sur l’arrière, ce qui laisse place à une vaste plage doté d’un hublot horizontal à l’avant et à un petit cockpit à l’arrière. Effilée, la carène fend les eaux comme le papillon fend les airs, mais elle a besoin de vent pour faire preuve de vélocité. Plus petit que la version croisière (Aloa 23 ou Prim’Vent Sport) de 60 cm, l’Aloa 21 est très agréable à barrer, ne gîte pas trop, à condition de ne pas mettre trop de poids à l’arrière du bateau. Les moins : peu d’espace de rangements, des hiloires trop étroits, les toilettes dans la pointe avant (pas facile d’accès). La cabine conti Voir plus
Id: 30
Surface des voiles: 17,40 m²
Année de lancement: 1969
Poids maximum: 800
Lest maximum: 300
Lors du changement de statuts de Seb Marine en Aloa Marine, le Prim’Vent devient l’Aloa 21, et la version croisière devient l’Aloa 23. La différence entre le 21 et le 23 est de 60 cm sur l’arrière. L’Aloa 23 reçoit un gouvernail suspendu et un tableau inversé ainsi que 80 kg en plus pour le lest. » La revue Bateaux résume bien la situation. Pour un programme de vie à bord, vous l’aurez compris, on choisira le numéro 23. Voilier du Sud de la France, on prévoira une capote sous des climats humides. Un WC marin se loge dans la pointe avant. La cuisine est cachée sous la descente. L’absence de hublot à l’avant du roof rend le carré un peu obscur. Excellent bateau sous-toilé et pas très échantillonné mais très marin, l’Aloa 23 constituera un premier choix idéal pour un navigateur en solitaire. Pendant le transport, la coque s’enfonce beaucoup mais elle retrouve rapidement sa forme initiale. Commercialisé 15000 francs en 1975 sans moteur, le voilier en Voir plus
Id: 51
Surface des voiles: 23,75 m²
Année de lancement: 1972
Poids maximum: 1 000
Lest maximum: 380
B’Jet pour Belouga « de luxe » ! C’est devant le succès du Belouga QR et une forte demande que Pierre Matonnat lance en 1978 le Belouga Jet dont la quille est rétractable à 100%. Ce monocoque, dessiné par George Auzepy-Brenneur, se contente de 37 cm d’eau pour flotter en charge, ce qui permet d’accéder à toutes les plages et d’échouer à plat. Voilier de croisière côtière familial, grand frère du Midget, le B’ fut construit dans le chantier girondin puis chez Moinard jusqu’en 1984, assurant sa notoriété à l’époque grâce à son mécanisme de relevage (parfois abîmé aujourd’hui sur les occasions) assez simple d’utilisation. Volume habitable généreux, grande largeur de flottaison. Le voilier, déjà classé dans la catégorie des « gros » de plus 7,30 m, a plus d’un atout dans son sac. Son transport routier nécessite malgré tout une remorque de 2000 kg de PTAC minimum. Une version club existe pour l’usage en plan d’eau intérieur. Elle p Voir plus
Id: 60
Surface des voiles: 31,10 m²
Année de lancement: 1978
Poids maximum: 1 250
Lest maximum: 530
Id: 159
Surface des voiles: 21 m²
Année de lancement: 1977
Poids maximum: 850
Lest maximum: 370
Voilà une petite merveille, très rare sur le marché de l’occasion français, qui inspirera plus tard son grand frère, le Surprise. Le Bagheera, ce n’est pas que la panthère noire du Livre de la jungle de Kipling ou même la voiture mythique du constructeur Matra. Non. C’est aussi une des toutes premières séries des chantiers Archambault. Cet ancien quillard conçu en 1971 possède une carène fine et élancée, proche du Bélouga. Le bateau est rapide, nerveux à la voile et capable de donner de grandes sensations à qui voudrait s’essayer aux plaisirs de la régate. Avec une largeur d’1,80 m pour 6 m de long, le Bagheera est transportable. Il possède quatre couchages.
Id: 87
Surface des voiles: 17,20 m²
Année de lancement: 1971
Poids maximum: 610
Lest maximum: 250
Le Bahia (qui veut dire la « baie » en portugais) est un bateau ouvert sur le monde et à tous. L’avant de la quille est profilé en pente douce jusqu’au brion, permettant ainsi des sorties et une mise sur remorque très facile. A l’aise sur route, le Bahia est très confortable et rapide sur l’eau. Ses lignes tendues se jouent à merveille du clapot et avec ses 20 m2 de voilure sur gréement 7/8ème, il ne manque pas d’allure, faisant honneur à la réputation de Philippe Harlé, célèbre concepteur de bateaux véloces, raides à la toile et marins. Les grandes surfaces dégagées du pont et le cockpit dignes d’un bateau beaucoup plus grand laissent soupçonner un important volume intérieur. En fait, les aménagements du Bahia sont un modèle d’équilibre et de bonne exploitation de l’espace. Table de carré pivotante qui se transforme en table à cartes, meubles de cuisine, nombreux rangement, 4 grandes couchettes, tout est conçu pour le confort à bord. Le beau Voir plus
Id: 26
Surface des voiles: 22,30 m²
Année de lancement: 1983
Poids maximum: DL 840 - Q 800
Lest maximum: 280
Tour à tour cétacé, esturgeon, caviar ou avion cargo chez Airbus, le Bélouga est avant tout un voilier dériveur en bois puis polyester, à gréement houari ou marconi, créé en 1943 par Eugène Cornu et Jacques Lebrun, du Cercle de la Voile de Paris. Rapide, spacieux et transportable, le Bélouga est un sloop à corne rapide suffisamment habitable pour des sportifs désirant acquérir le goût de la croisière en effectuant en rivière ou en mer des sorties de port à port. Avec plus d’un millier d’unités fabriquées, son succès est incontestable. A partir de 1972, ce voilier subit quelques modifications et est équipé d’une quille rétractable lestée à la place de la dérive. Le « Bélouga QR 6,60 » était né. En cabine, les 2 couchettes se trouvent sur bâbord séparés par le coin cuisine. En face, dans le carré, le puits de dérive vient s’encastrer dans des meubles de rangement. Sur le pont, le roof très avancé offre de grands espaces depuis le cockpit. Voir plus
Id: 33
Surface des voiles: 22,80 m²
Année de lancement: 1944
Poids maximum: 500 à 750
Lest maximum: 56 à 140
Un nom bonhomme, une bouille attendrissante. Le Biloup 765 est le premier voilier sorti des chantiers Wrighton à Béthune. Spécialisée dans la carrosserie automobile, la société décide de lancer ses propres bateaux dès 1978. Comme la plupart des « Biloup », le 765 était proposé en construction amateur. Les aménagements intérieurs peuvent donc différer d’une unité à l’autre. Monocoque à deux quilles au tirant d’eau réduit, le voilier est transportable malgré ses 7,35 m de long. Il reste un très bon compromis dans sa catégorie en termes d’entretien et de mise à l’eau. Pour aller au calme et se poser dans un coin, le Biloup est parfait. L’échouage sur quilles est optimal puisqu’il ne nécessite aucune manœuvre ! Le voilier possède des performances honorables même s’il lui faut un peu de vent pour avancer. Son cap n’est pas des plus précis mais sa tenue de route n’a rien d’aléatoire. Plan de pont marin et sécurisant, cockpit confortable. N Voir plus
Id: 57
Surface des voiles: 31,45 m²
Année de lancement: 1979
Poids maximum: 1 400
Lest maximum: 600
Successeur désigné du 765, le Biloup 77 voit le jour en 1988 dans le chantier nordiste de Wrighton. Il sera remplacé en 1995 par le 77 NV dont les architectes n’ont conservé que la coque d’origine du grand frère. Premier modèle de la marque de cette taille (7,50 m) à offrir une telle habitabilité tout en restant transportable, avec un faible tirant d’eau, un échouage très facile et la possibilité de changer de lieu de navigation, le Biloup 77 est simple et agréable à manoeuvrer en famille comme en équipage réduit. Son comportement dans le gros temps est en outre remarquable, ce qui en fait un vrai marin. Penaud dans les vents légers, le biquille maîtrise davantage son sujet avec un peu de souffle dans les voiles. Prendre un ou plusieurs ris passé force 4 peut s’avérer rédempteur, corrigeant le penchant naturel à la gîte. Pont dégagé à l’avant, cockpit confortable. Seul bémol du plan : les écoutes de génois se trouvent un peu loin du barreur. La cab Voir plus
Id: 62
Surface des voiles: 35 m²
Année de lancement: 1986
Poids maximum: 1 500
Lest maximum: 650
Dessiné en 1967 par Gilles Costantini, le  « BINIOU » est un petit croiseur à simple bouchain d’une longueur de 7 mètres. Il y eut deux versions de « BINIOU » La première version a une coque en contreplaqué avec un roof en bois. La deuxième version apparue en 1969 a une coque et un pont réalisés en polyester avec sandwich en balsa. Ce modèle de bateau fut construit à plus d’une centaine d’exemplaires.
Id: 153
Surface des voiles: 20,00 m²
Année de lancement: 1967
Poids maximum: 1 200
Lest maximum: 525
Le Blue Djinn en quelques mots . . .Dériveur intégral de 6,10 mètres, le Blue-Djinn se positionne comme un vrai croiseur pouvant recevoir une famille complète. Ses 4 couchettes dotées de coffres de rangements sont organisées autour du puits de dérive équipé d’une astucieuse table rabattable permettant ainsi de déjeuner confortablement. Un bloc cuisine (en option) avec un réchaud et une réserve d’eau complétera l’équipement nécessaire à la croisière. Entièrement escamotable, la dérive réduit le tirant d’eau à 25 cm permettant au Blue-Djinn d’accéder aux plages les plus reculées. Spécialement conçu pour des navigations en équipage réduit, l’ensemble des manœuvres est ramené au cockpit. Le Blue-Djinn est équipé de série de Lazy jack et prise de ris automatique, et de la grand voile entièrement lattée. Le barreur manoeuvrera facilement le moteur hors-bord installé sur la chaise livrée avec le bateau. La mise à l’eau et le mâtage du bateau Voir plus
Id: 12
Surface des voiles: 18,80 m²
Année de lancement: 1994
Poids maximum: 950
Lest maximum: 150
Id: 2
Surface des voiles: 18 m²
Année de lancement: 1976
Poids maximum: 450
Lest maximum: 175
Avec un nom pareil, difficile d’échapper au succès. « Conception moderne, lignes élégantes », c’est ainsi qu’est décrit le Brio au salon nautique suisse lors de sa sortie en 1978. Plus grand que le Flirt mais plus petit que l’Aquilla, le modèle, du haut de ses 6,60m, a pour vocation initiale de remplacer le Love-Love dans la gamme du constructeur Jeanneau. Pari réussi haut la main. Les emménagements sont assez conventionnels avec quatre couchettes, un bloc cuisine en deux parties et une table pliante. Le gréement est en tête. Seul bémol : le panneau de descente d’une seule pièce. Le carré du Brio, lui, est vaste, et son cockpit spacieux. A noter, plus d’un millier de Brio ont été produit de 1978 à 1983.
Id: 43
Surface des voiles: 24 m²
Année de lancement: 1978
Poids maximum: Q 1 200/DL 1250
Lest maximum: 530
Derrière ce vieux prince des mers né au royaume des plans Harlé se cache le Jouët 23ème du nom. Au premier coup d’œil, la ressemblance avec le Shériff est évidente. Il n’en a pourtant ni la taille, ni le programme. Encore moins la notoriété. Doté d’une carène moderne, ce petit croiseur, écoulé à 350 exemplaires, bénéficie de volumes intéressants et d’une bonne hauteur sous barrot. Il est parfait pour la croisière familiale et côtière d’une famille avec deux enfants. En navigation, ses performances sont intéressantes. Comme souvent chez Harlé, le bateau aime le petit temps. Sa rondeur se trouve au-dessus de la ligne de flottaison et le tout décolle dès que les voiles se remplissent. Raide à la toile, il est confortable et agréable à barrer. Si les premières unités ont bénéficié d’une finition spartiate, les suivantes se portent mieux. En cabine, le Calife a un carré symétrique avec deux couchettes, une pointe réservée au couchage, une cui Voir plus
Id: 133
Surface des voiles: 26,75 m²
Année de lancement: 1969
Poids maximum: 1 250
Lest maximum: 530
Dessiné par Jean Berret pour Lorient, le Cap baba est un remarquable bateau de petit temps grâce à sa flottaison très étroite. Dans sa version de série, la coque a été alourdie et munie d’une quille fixe de 150 kg, afin de pouvoir obtenir la stabilité initiale minimale prévue dans le règlement de la Micro Cup 1978, le mât étant sensiblement raccourci. D’un tempérament vif et plutôt sportif , le Cap Baba est cependant doté d’une bonne habilité avec 4 couchettes, le règlement de la Micro imposant une hauteur assise suffisante.
Id: 164
Surface des voiles: 18.50 m²
Année de lancement: 1978
Poids maximum: 500
Lest maximum: 135
Commercialisé en construction amateur depuis cinquante ans, ce petit voilier dessiné par Jean-Jacques Herbulot est incontestablement une réussite extraordinaire. Sur le plan sportif, il fut le champion indiscutable des croiseurs légers de sa catégorie dont il remporta le titre en 1972 et de 1974 à 1979. En 1986, alors que tout un chacun pouvait penser ce plan un peu dépassé, il remporte les médailles d’or et d’argent aux Championnats de France ! Depuis, il continue à truster les places d’honneur. Il est même redevenu champion de France en 1989 à l’occasion du dernier Championnat des croiseurs… Sur le plan de la croisière, il y a longtemps que ses adeptes en ont apprécié la sécurité, la maniabilité sur l ‘eau comme sur la route et son habitabilité étonnante pour sa taille. La construction en bois moulé est envisageable à partir des plans, mais elle est maintenant réalisable et grandement facilitée en partant d’une coque en polyester, sans talent par Voir plus
Id: 11
Surface des voiles: 18,30 m²
Année de lancement: 1956
Poids maximum: 550
Lest maximum: 150
La Cavale est un petit croiseur côtier de 5,50 m dessiné par Jean-Jacques Herbulot pour l’école de voile des Glénans en 1966. Il ressemble beaucoup au Mousquetaire, avec des dimensions proches du Corsaire mais une cabine, sans roof, très basse et plus courte. On peut éventuellement y dormir à deux et pratiquer le camping côtier.C’est un dériveur lesté.La construction est en contreplaqué marine, sa coque est donc à bouchains vifs.Il existe 2 versions de la Cavale: classique et HC. La classique est celle “des Glénans”, sans roof, gréée 7/8eme, sans pataras. La Cavale HC, sortie des chantiers Craff (sur l’Odet) est gréée en tête, dispose d’un roof et d’un pataras.
Id: 143
Surface des voiles: 17 m²
Année de lancement: 1966
Poids maximum: 470
Lest maximum: 200
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Minicroiseur